Ecrivez une courte histoire contenant le mot "retrouvailles"
La fiction du vendredi vous offre l'opportunité d'écrire une courte histoire. Vous pouvez écrire une minute ou plus. Et quelque soit la longueur de votre texte, vous pouvez le poster dans les commentaires.
Comment ça marche?
1. Lisez la proposition d'écriture du jour.
2. Lancez le compteur situé en haut à droite de l'écran ou utilisez votre montre ou votre horloge interne.
3. Passez les 60 secondes suivantes (ou moins ou plus selon l'inspiration) à écrire soit une réponse à la proposition d'écriture, soit tout autre chose qui vous est venu à l'esprit.
Postez votre contribution dans la section "commentaires" de chaque article si votre réponse est "tout public". Ou vous pouvez utiliser votre traitement de texte ou la bonne vieille méthode papier-crayon. C'est vous qui voyez!
Aujourd'hui, prenez une minute pour écrire!
2. Lancez le compteur situé en haut à droite de l'écran ou utilisez votre montre ou votre horloge interne.
3. Passez les 60 secondes suivantes (ou moins ou plus selon l'inspiration) à écrire soit une réponse à la proposition d'écriture, soit tout autre chose qui vous est venu à l'esprit.
Postez votre contribution dans la section "commentaires" de chaque article si votre réponse est "tout public". Ou vous pouvez utiliser votre traitement de texte ou la bonne vieille méthode papier-crayon. C'est vous qui voyez!
Aujourd'hui, prenez une minute pour écrire!
vendredi 4 février 2011
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Nous étions trois couples, mélange d'amis d'enfance et d'adolescence. Je vous passe le couplet sur les conneries qu'on a fait ensemble.
RépondreSupprimerEt puis le hasard, le destin, nous a mis en présence tous les six il y a quelques semaines.
Il y a trente ans que nous ne nous étions pas rencontrés.
Quel drôle de mélange.
Ceux qui étaient encore en couple, ceux qui faisaient semblant, ceux qui étaient séparés.
Ceux dont les enfants étaient des modèles de réussite, ceux dont les enfants faisaient ce qu'ils pouvaient, ceux dont un enfant était mort.
Ceux qui se sont compris au premier regard, qui ont reconnu en l'autre la quête de la vérité. Celui qui était pommé, ne comprenant plus rien à la vie. Et ceux qui ne voyaient rien, qui peut-être iraient jusqu'au bout de leur vie sans en rien comprendre.
Quoiqu'il arrive, même pour pleurer, je préfère avoir les yeux ouverts.