1. Lisez la proposition d'écriture du jour. 2. Lancez le compteur situé en haut à droite de l'écran ou utilisez votre montre ou votre horloge interne. 3. Passez les 60 secondes suivantes (ou moins ou plus selon l'inspiration) à écrire soit une réponse à la proposition d'écriture, soit tout autre chose qui vous est venu à l'esprit.
Postez votre contribution dans la section "commentaires" de chaque article si votre réponse est "tout public". Ou vous pouvez utiliser votre traitement de texte ou la bonne vieille méthode papier-crayon. C'est vous qui voyez!
Aujourd'hui, prenez uneminute pour écrire!
samedi 17 septembre 2011
La suite à inventer (15)
Ecrivez la suite de ce début de texte: "Une violente douleur le réveilla. Son bras le faisait souffrir et lorsqu'il le regarda pour tenter d'identifier la douleur, il..."
...ne vit rien, comme d'habitude. Comme depuis ses 12 ans, depuis ce dimanche,où , pour crâner devant les filles du quartier et montrer qu'il était cap', il avait voulu grimper en haut du pylone. Il y avait laissé son bras gauche et la douleur qu'il ressentait était donc celle de l'absence.
... il vit la gueule monstrueuse d'un crocodile, la mâchoire refermée sur son avant-bras. La douleur céda aussitôt la place à une colossale panique. Il fallait néanmoins réfléchir... crier ne lui semblait pas une bonne idée, l'animal semblait assoupi, il considérait cela comme le seul point positif de sa situation. De son autre main, tout doucement, il tenta d'attraper le téléphone. Il arrêta son geste : impossible d'appeler les secours dans cette tenue ! Mais où avait-il balancé son pantalon hier soir ? Il le vit là, à quelques centimètres de son lit. Ça valait la peine de tenter le coup. Doucement, avec une infinie délicatesse, il tendit la main puis le bras. La douleur était insupportable mais il sentait qu'il pourrait y arriver. La sueur lui brouillait la vue, il ne vit donc pas qu'il accrochait le fil du téléphone, il ne le vit pas non plus s'écraser par terre,. Il entendit juste un fracas épouvantable et sentit à peine le crocodile, réveillé en sursaut, en colère et affamé terminer ce qu'il avait commencé.
Alors Jules sait nous installer du suspens. Ton texte mériterait d'être retravaillé dans une version plus longue. C'est quand même intrigant ce type qui se réveille le bras dans un crocodile!
...ne vit rien, comme d'habitude. Comme depuis ses 12 ans, depuis ce dimanche,où , pour crâner devant les filles du quartier et montrer qu'il était cap', il avait voulu grimper en haut du pylone. Il y avait laissé son bras gauche et la douleur qu'il ressentait était donc celle de l'absence.
RépondreSupprimer... il vit la gueule monstrueuse d'un crocodile, la mâchoire refermée sur son avant-bras. La douleur céda aussitôt la place à une colossale panique. Il fallait néanmoins réfléchir... crier ne lui semblait pas une bonne idée, l'animal semblait assoupi, il considérait cela comme le seul point positif de sa situation. De son autre main, tout doucement, il tenta d'attraper le téléphone. Il arrêta son geste : impossible d'appeler les secours dans cette tenue ! Mais où avait-il balancé son pantalon hier soir ? Il le vit là, à quelques centimètres de son lit. Ça valait la peine de tenter le coup. Doucement, avec une infinie délicatesse, il tendit la main puis le bras. La douleur était insupportable mais il sentait qu'il pourrait y arriver. La sueur lui brouillait la vue, il ne vit donc pas qu'il accrochait le fil du téléphone, il ne le vit pas non plus s'écraser par terre,. Il entendit juste un fracas épouvantable et sentit à peine le crocodile, réveillé en sursaut, en colère et affamé terminer ce qu'il avait commencé.
RépondreSupprimerAlors Jules sait nous installer du suspens. Ton texte mériterait d'être retravaillé dans une version plus longue. C'est quand même intrigant ce type qui se réveille le bras dans un crocodile!
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